Modification n°4 du Plan Local de l’Urbanisme intercommunal de Marseille-Provence - Enquête Publique
Ouvert le 12/03/2025 à 09 heures, ce registre est clos depuis le 11/04/2025 à 17 heures
Veuillez patienter ... Chargement des contributions
Contribution
Anna - Marseille - 09/04/2025 18h13 - Registre numérique
les carrières du vallon 13016
À l’attention du Président et du Commissaire enquêteur
Je vis à l’Estaque et je fais partie d’une génération qui aimerait croire en l’avenir de Marseille. Mais quand je vois que les Carrières du Vallon pourraient être reclassées en zone naturelle NE, uniquement pour accueillir des panneaux photovoltaïques, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’on passe à côté d’un véritable projet de société. Ce site est entièrement artificialisé. Ce n’est pas un espace naturel qu’on protège, mais une friche à laquelle on renonce.
Aujourd’hui, on parle partout d’intelligence artificielle, de transition numérique, de souveraineté des données. Pourquoi ne pas utiliser ce terrain pour y installer un centre de données moderne, conçu de manière écologique, et relié aux grandes filières de formation et de recherche ? Ce type d’infrastructure pourrait permettre de stocker localement nos données, de créer des emplois qualifiés, et d’ancrer des compétences numériques à Marseille.
Ce serait bien plus utile pour la ville et pour ses habitants qu’un simple champ de panneaux, qui ne génère ni dynamique locale, ni perspectives concrètes. Si on veut que les jeunes restent ici, il faut leur donner des raisons de croire en leur avenir sur ce territoire. Les Carrières du Vallon peuvent devenir un lieu d’innovation, au service de Marseille. Encore faut-il faire le bon choix de zonage.
Je vis à l’Estaque et je fais partie d’une génération qui aimerait croire en l’avenir de Marseille. Mais quand je vois que les Carrières du Vallon pourraient être reclassées en zone naturelle NE, uniquement pour accueillir des panneaux photovoltaïques, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’on passe à côté d’un véritable projet de société. Ce site est entièrement artificialisé. Ce n’est pas un espace naturel qu’on protège, mais une friche à laquelle on renonce.
Aujourd’hui, on parle partout d’intelligence artificielle, de transition numérique, de souveraineté des données. Pourquoi ne pas utiliser ce terrain pour y installer un centre de données moderne, conçu de manière écologique, et relié aux grandes filières de formation et de recherche ? Ce type d’infrastructure pourrait permettre de stocker localement nos données, de créer des emplois qualifiés, et d’ancrer des compétences numériques à Marseille.
Ce serait bien plus utile pour la ville et pour ses habitants qu’un simple champ de panneaux, qui ne génère ni dynamique locale, ni perspectives concrètes. Si on veut que les jeunes restent ici, il faut leur donner des raisons de croire en leur avenir sur ce territoire. Les Carrières du Vallon peuvent devenir un lieu d’innovation, au service de Marseille. Encore faut-il faire le bon choix de zonage.