Le projet de prolongement du tramway T7 entre
Athis-Mons et Juvisy-sur-Orge est implanté dans le département de l’Essonne
(91), dans le sud de l’agglomération parisienne.
Le tramway s’insère au sud de l’aéroport d’Orly, entre
l’autoroute A6 à l’ouest et la Seine à l’est. Il traverse les communes de
Paray-Vieille-Poste, Athis-Mons et Juvisy-sur-Orge.
Le projet T7 Athis-Juvisy est le prolongement du
tramway T7 Villejuif-Athis-Mons.
Le tramway s’insère sur la RN7 sur les communes de
Paray-Vieille-Poste et d’Athis-Mons. Un tunnel permet au tramway de franchir
l’important dénivelé entre la RN7 et le centre-ville de Juvisy-sur-Orge et de
rejoindre la gare RER de Juvisy, en s’insérant dans le Grand Pôle Intermodal de
Juvisy (GPI). Le tracé comporte 6 stations dont une station souterraine, et
mesure 3,7 km.
Les objectifs du projet
Le projet a pour objectifs de :
Le tracé et ses correspondances
Le tram T7 mettra
environ 22
minutes pour relier le pôle d’échanges de Juvisy-Sur-Orge au pôle Orly-Rungis. Le prolongement du tram T7
desservira Athis-Mons, Paray-Vieille-Poste et Juvisy-sur-Orge grâce à la
création de 6
nouvelles stations, dont une station souterraine.
Le tram T7
offrira des correspondances avec différentes lignes :
La desserte des équipements et commerces
Le
prolongement du tram T7 desservira de nombreux équipements publics (hôpital,
tribunal d’instance et hôtel de police de Juvisy-sur-Orge, centre aquatique…),
des zones commerciales (centre commercial Carrefour à Athis-Mons, marché de
Juvisy-sur-Orge), des commerces de proximité ainsi que le complexe
hôtelier d’Orly.
Le projet
permettra également la desserte du secteur d’Orly-Rungis depuis le sud, premier pôle économique du sud
de l’Île-de-France, avec ses 65 000 emplois et 5 500 entreprises.
Des espaces publics réaménagés
Le prolongement
de la ligne tram T7 accompagne les opérations de réaménagement des villes
traversées :
Les grandes étapes
L'enquête publique est une procédure règlementaire assurant l'information, la participation du public ainsi que la prise en compte de l'intérêt des tiers lors de l'élaboration des décisions susceptibles d'affecter l'environnement. Elle est dorénavant appelée enquête environnementale et est codifiée sous les articles L123 et R123 du code de l'environnement. Dans le cadre de l'enquête dont la durée est fixée par l'autorité organisatrice dans son arrêté d'ouverture, l'information du public est assurée au moyen du dossier d'enquête mis à disposition sur le ou les lieu(x) d'enquête et sur internet. Toute personne qui le souhaite peut participer à l'enquête en déposant une contribution sur les registres ouverts à cet effet sur le ou les lieu(x) d'enquête et par voie numérique. Elle peut aussi dialoguer avec le commissaire enquêteur au cours de ses permanences tenues généralement en mairie.
L'enquête publique est conduite et animée par un commissaire enquêteur. Personnalité neutre et indépendante, inscrite sur les listes d'aptitude au titre de l'année, le commissaire enquêteur est désigné par le président du Tribunal administratif ou dans certains cas par le Préfet. Garant du bon déroulement de la procédure d'enquête, le commissaire enquêteur recueille l'ensemble des contributions du public exprimées par écrit, par voie numérique ou lors des permanences durant l'enquête et rend à l'issue de celle-ci son rapport et conclusions motivées.
En savoir plus sur les commissaires enquêteurs : www.cnce.fr
Les observations et propositions peuvent être déposées sur ce registre numérique, ou envoyées par e-mail (pref91-extension-ligne-t7-idf-mobilites@mail.registre-numerique.fr) pendant toute la durée de l'enquête publique. Elles peuvent être également déposées sur les registres « papier » prévus dans les cinq lieux d'enquête, pendant les heures d'ouverture au public, au cours des permanences, ou être adressées à Monsieur le commissaire enquêteur, par courrier, avant la clôture de la procédure, au siège de l'enquête publique, Mairie - Juvisy-sur-Orge, 18 A Rue Jules Ferry, 91260 Juvisy-sur-Orge. Toute contribution exprimée selon des modalités non prévues ou reçues en dehors de la période d’ouverture de l’enquête ne sera pas prise en compte.
Le commissaire enquêteur se tient à la disposition du public, sans rendez-vous, pour recevoir ses observations lors des onze permanences indiquées ci-dessous.